mardi 31 janvier 2017


Livres lus :

Un mois plutôt petit avec 6 livres lus, la majorité étant des livres obligatoires pour mes cours à la fac. J'ai donc lu deux essais, un sur La Comédie à l'âge classique de Michel Gilot & Jean Serroy très intéressant revenant sur les origines de la comédie française et ses influences jusqu'au succès du genre, et l'autre sur l'édition en France avec Une histoire de l'édition contemporaine d'Élisabeth Paginet qui a été très instructif pour comprendre le monde du livre du XIXème siècle à nos jours. Lais féeriques des XIIe et XIIIe siècles a été une lecture plutôt abordable avec des récits intéressants, mais la plupart ne se distinguaient pas assez des autres pour qu'ils possèdent leur histoire propre, beaucoup trop de répétitions dans les histoires. Les Lettres persanes m'ont enfin permis de lire un ouvrage de Montesquieu, ouvrage qui a été en demi-teinte, ayant adoré certains thèmes comme la place de la femme dans les sociétés occidentale et orientale, et les questions théologiques, et m'étant passablement ennuyée sur les questions techniques du voyage des persans et autres sujets qui ne m'ont pas intéressé. Le Mystère de la Chambre Jaune de Gaston Leroux m'a fait découvrir un des premiers romans policiers français que j'ai bien apprécié. Dynamique, incarné par un très bon duo, le suspense est présent jusqu'au bout. Et enfin j'ai eu la chance grâce encore à Librinova de découvrir le premier tome de L'Éveil écrit par Benjamin Lebrun et Yohann Carouge, un livre fantasy avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture. Les personnages sont nombreux, plusieurs intrigues s'entremêlent, ce qui m'a fait préféré certaines plus que d'autres.




Livres acquis :
 




Livres prévus pour février :
 Je dois lire pour la fac des livres médiévaux sur la merveille donc je compte lire le livre assez court de Robert de Boron, Merlin, sur la légende de cet enchanteur. Les Dames du lac, réadaptation des légendes arthuriennes, je pense que ce premier tome peut être intéressant car assez original : les légendes sont racontées à travers le point de vue des femmes ! Je vais pourvoir donc davantage découvrir Guenièvre, la fée Morgane, Viviane, etc... Et dernier livre pour mes cours, L'Affaire Lerouge est un des premiers romans dans la littérature policière française que je compte bientôt commencer.


J'ai bientôt fini le premier tome d'Aeternia qui me plaît tout autant que la trilogie Le Puits des mémoires. Puis je compte (j'espère plutôt) lire les deux derniers tomes parus de Charley Davidson que je souhaitais lire en janvier, mais manque de temps ! J'ai hâte de me replonger dans cet univers rafraîchissant avec cette héroïne drôle et pleine de ressources.


Et vous, qu'avez vous lu ce mois-ci ? Avez-vous lu un de ces livres ? Je vous souhaite un bon mois de février !


lundi 30 janvier 2017

Lettres persanes 
Correspondance fictive entre deux seigneurs persans partis à la découverte de la
 France de Louis XIV et leurs amis demeurés à Ispahan, les Lettres persanes connurent
 un succès immédiat à leur parution en 1721. Confrontant Orient et Occident, l'échange
 épistolaire mené par Usbek et Rica est le lieu d'interrogations morales, politiques
 et philosophiques : quels sont les mécanismes de l'obéissance au pouvoir despotique,
 quels sont les ressorts de la servitude et de la soumission ? Autant de questions qui,
 fascinant la pensée européenne depuis la Renaissance, sont alors d'une brûlante actualité.



AVIS 


« La nature semblait avoir sagement pourvu à ce que les sottises des hommes fussent
 passagères, et les livres les immortalisent. » 
 
 
On peut pas dire que j'ai été enchantée de commencer ce livre. Étant un des romans qui a amené au succès du genre épistolaire, beaucoup d'entre vous en auront au moins entendu parler. En tout cas, de mon côté, ça a été le cas. Mais j'ai quand même dû attendre la fac pour l'avoir dans les mains. J'en avais un peu peur, je ne savais pas vraiment comment l'appréhender. Est-ce qu'il allait être un roman épistolaire aussi magnifique que les Liaisons dangereuses de Laclos ? Était-il accessible par les sujets qu'il aborde et par le style de l'auteur ? Car oui, une question se pose dès le début : lettres fictives ou véritables ? Dès sa préface, Montesquieu nous fait comprendre avec ironie que ces lettres sont le fruit de son imagination, influencées tout de même par sa découverte du pays oriental et de ses rencontres avec les persans. Tel Laclos avec ses Liaisons dangereuses, Montesquieu nous raconte une véritable histoire où il est question de découverte culturelle mais invite également à des réflexions philosophiques. Usbek, un seigneur persan, quitte avec ami Rica son pays natal pour découvrir l'Europe, particulièrement Paris ou encore l'Italie. Dans ce roman à plusieurs voix, le lecteur va pouvoir suivre la rencontre entre la culture orientale et occidentale, leur comparaison, etc... 

À l'honneur, questions théologiques, métaphysiques, interrogations sur la place et la "valeur" de la femme, dans un certain sens libre dans la société française et enfermée dans le sérail persan. Je dois dire que ce sont les lettres à propos des femmes, que ce soit celles d'Usbek sur ses observations à Paris, ou celles de ses femmes dans le sérail, le priant de revenir vite, qui m'ont le plus intéressé. Celles également sur la présence de la religion dans la société, la distinction entre les différentes croyances et parfois également leur comparaison. En dehors de ses sujets, il est vrai que j'ai été beaucoup moins intéressée par les difficultés du voyage ou par les récits des différents personnages sur tel ou tel sujet qui m'ont le plus souvent ennuyé. Malgré la forme narrative qui peut se révéler plus dynamique que le roman ou autre genre littéraire, ma lecture a été parfois laborieuse. La polyphonie dans le récit est alors bienvenue, pouvant découvrir différents points de vue, toujours du coté des persans. Montesquieu a réussi à créer une oeuvre orientale factice à laquelle on croit. 

Car qui croirait que ces lettres sont le fruit de la plume d'un français ou d'un européen ? Surtout à l'époque de l'auteur où la censure fait rage. La caractérisation du roi Louis XIV dans ce roman est loin d'être flatteuse tout comme son régime monarchique, et ne parlons pas d'une certaine remise en cause de la religion catholique en prenant en compte celle musulmane et judaïque. On peut comprendre alors le choix de Montesqieu de publier à l'époque son œuvre anonymement en Belgique. Le président à mortier au parlement de Bordeaux aurait été fortement tapé sur les doigts ! Même si évidemment, personne n'est dupe et connaît peu à peu le nom d'auteur de ce récit, écrivain vivement reconnu par ses différentes oeuvres qui lui vaudra son entrée à l'Académie française. 


« La loi, faite pour nous rendre plus justes, ne sert souvent qu'à nous rendre plus coupables. »



CONCLUSION
Un roman épistolaire à plusieurs voix et plusieurs thèmes,
 certains qui m'ont beaucoup intéressé, d'autres qui m'ont
 ennuyé. Mais je pense que ce livre est néanmoins à lire pour
 l’ingéniosité de Montesquieu à créer un récit auquel on croit.

dimanche 29 janvier 2017



Les livres de la semaine :
        
Lettres persanes (1721) de Montesquieu : Une lecture parfois laborieuse mais comme j'aime beaucoup le genre épistolaire que je trouve souvent dynamique, j'ai apprécié lire ces lettres fictives de persans découvrant la culture occidentale sous le règne de Louis XIV et les différences sociales, politiques et sociologiques entre les deux continents.
--> 14/20
Le Mystère de la Chambre Jaune (1907) de Gaston Leroux : J'ai été surprise d'avoir autant apprécier ce roman policier et de le trouver aussi accessible au vu de sa date de publication. Un des premiers romans policiers en France, je me suis beaucoup amusé à suivre ce duo qui fonctionne très bien et qui réussit à apporter de l'intérêt à une affaire floue et presque impossible à résoudre. Néanmoins, j'ai ressenti parfois des longueurs.
--> 16/20
L'Éveil : Korss'Hanes tome 1 (2017) de Benjamin Lebrun & Yohann Carouge : J'ai beaucoup apprécié ce premier tome qui compte plusieurs intrigues, une en particulier qui m'a davantage intéressé. Beaucoup de personnages, surtout secondaires, qui ne sont pas très différents les uns des autres et qui a fait que parfois je me suis perdue. Mais je lirais avec plaisir la suite ayant bien apprécié l'univers.
--> 16/20



Les chroniques de la semaine :

Comme une respiration..., Jean Teulé
Lais féeriques des XIIe et XIIIe siècles



Mes acquisitions de la semaine :
Le Cycle d'Avalon : Les dames du lac tome 1, Marie Zimmer Bradley
Merlin, Robert de Boron
Vivre vite, Philippe Besson
L'Immortalité, Milan Kundera

La Maîtresse de guerre, Gabriel Katz
Quand je serais partie, Emily Bleeker
Son dernier souffle, Robert Dugoni
The Vanishing Girl tome 1, Laura Thalassa



Les films de la semaine :
 
Mommy (2014) de Xavier Dolan : J'ai beaucoup entendu parler de ce film, toujours en bien, et je dois dire que je suis sûrement passé un peu à coté. N'ayant jamais visionné un film de ce réalisateur, j'ai été dérangé par le format de l'image qui ne m'a pas convenu. L'histoire est intéressante mais vu l'affiche, je pensais que ça serait plus conflictuelle dès le début entre la mère et le fils. Le film m'a beaucoup fait penser à La tête haute sélectionné aux Césars l'année dernière et que j'avais adoré.
--> 14/20



Les séries de la semaine :
          
Colony saison 1 (2016) épisodes 3 à 5 : Je continue mais je suis encore un peu mitigée par cette série. Les deux derniers épisodes que j'ai vu m'ont réellement plu mais ce n'est pas encore extraordinaire. Il n'y a pas véritablement d'enjeu, l'histoire ne nous donne pas assez d'éléments pour être immergé dans la série et être attaché aux personnages. Ce régime autoritaire ressemble plus à celui imposé lors de la Seconde guerre mondiale en France qu'à une réelle invasion d'extraterrestres.
--> 14,5/20
Outsiders saison 1 (2016) épisode 4 :
J'ai vu les trois premiers épisodes de cette série il y a un petit moment maintenant. J'ai désiré regarder ce quatrième épisode pour savoir si je continue et je suis encore en pleine réflexion. J'aime vraiment bien, l'ambiance et l'histoire m'intéressent mais c'est encore trop calme à mon goût. L'affrontement entre cette ville et la famille Farell se profile et j'ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner.
--> 15/20
The Good Wife saison 1 (2009) épisodes 1 à 15 :
Depuis toutes ces années, je n'en connaissais que le titre, je ne m'étais jamais intéressé à cette série. Et depuis que j'ai vu qu'un spin-of allait être diffusé, j'ai voulu voir ce que donnait la série mère. Alicia, bafouée par les tromperies de son mari et du scandale médiatique autour de son poste de procureur, est une femme incroyablement forte qui va reprendre, après toutes ces années de femme au foyer, son travail d'avocate. Je suis complètement sous le charme de cette femme incroyable et j'aime beaucoup la voir elle et ses collègues en œuvre dans la cour de justice essayant toujours de défendre au mieux leurs clients.
--> 17/20


Et vous, qu'avez vous lu/vu ?





vendredi 27 janvier 2017

Lais féeriques des XIIe et XIIIe siècles
Après avoir été une composition musicale exécutée sur la harpe ou la rote, le lai est
 devenu un genre narratif, un court poème relatant une aventure, un événement extraordinaire.
 On connaît bien les lais de Marie de France. Ceux de notre volume s'inscrivent dans la
 même lignée. Ils appartiennent à un monde de sortilèges - les êtres et les choses y sont
 libérés des lois naturelles, l'insolite fait irruption à chaque instant, les amours sont
 improvisées mais presque toujours durables, le malheur et la religion n'ont pas droit
 de cité. Cet espace mythique, lieu d'apparitions, de métamorphoses et d'enlèvements,
 privilégie le merveilleux plus que le fantastique. En ouvrant la porte à l'imagination
 il nous offre le plaisir sans prix du dépaysement.

AVIS

Premier livre lu en 2017 et nouveau genre littéraire découvert : les lais. Peut-être que certain(e)s vont les associer à Marie de France, une des auteurs les plus prolifiques dans ce genre. Mais pour commencer, qu'est-ce donc qu'un lai ? Apparu au XIIème siècle, le lai est un poème soit narré, soit chanté. Il laisse place à ce qu'on appelle la « matière de Bretagne », comme celle de France ou de Rome, qui désignent l'ensemble des légendes et histoires médiévales issues de ces terres, notamment les légendes arthuriennes. Il est alors le plus souvent question d'histoires d'amours ou d'aventures chevaleresques. Nous avons affaire dans ce recueil à une douzaine de brefs récits qui laissent place chacun à leur manière, même si plusieurs se ressemblent, à la merveille. La merveille au sens de magie, d'êtres féeriques qui viennent chambouler la vie du héros, chevalier courtois très en vogue dans les légendes à cette époque. Dans la même veine que les lais de Marie de France, ceux-ci représente l'extraordinaire au côté de personnages fidèles à leur roi, ce qui va souvent leur apporter des malheurs avant de rencontrer la merveille qui se matérialise le plus souvent en une femme de la nature, une étrangère vivant dans un autre monde. 

Il est vrai que les trois ou quatre premiers lais se ressemblent beaucoup trop. Alors que les différents chevaliers, héros de leurs récits, ont des particularités distinctes, la situation initiale et l'élément perturbateur sont beaucoup trop semblables. Ici, la reine est toujours celle blessée par le refus du chevalier de partager sa couche et qui va alors se venger en lui apportant le déshonneur ou la mort. Une ou deux fois, c'est intéressant, mais davantage, ça fait réfléchir sur la place de la femme dans ces récits ! Elle est toujours perçue comme un objet de tentation dont l'homme doit se méfier afin de ne pas pêcher, ce qui lui refuserait les portes de l'au-delà. Elle est ici alors soit représentée en capricieuse qui tente par tous ces atouts d'obtenir ce qu'elle veut, soit en cette créature enchanteresse et inconnue qui débarque dans la vie du héros lorsqu'il s'y attends le moins. Ces femmes de la nature vont alors se laisser appartenir par ces hommes tout en y ajoutant des conditions, des promesses qui ne doivent jamais être défaites, faute de ne jamais plus goûter à la beauté de leur vue. Mais les lais suivants se détachent heureusement de ce schéma narratif redondant et réussissent à incarner leur propre histoire. Certaines m'ont plus intéressé que d'autres comme le lai de Tydorel qui ne peut pas dormir, et celui de Tyolet qui est fasciné pas les chevaliers-bêtes. J'ai eu l'impression de passer un moment trop court avec ces histoires, comme un moment trop long avec d'autres qui m'ont plutôt ennuyé. J'ai apprécié retrouver certaines fois des personnages célèbres de la littérature chevaleresque tel qu'Arthur et ses alliés, que j'avais apprécié découvrir dans d'autres livres médiévaux comme La Quête du Saint Graal ou Romans de la table ronde.



CONCLUSION
Je suis plutôt partagée par ce recueil, appréciant la forme
 stylistique du lai, mais n'appréciant la répétition et la
 ressemblance flagrante entre certains de ces poèmes.

jeudi 26 janvier 2017


Comme une respiration..., Jean Teulé
Respirez ! À fond ! Et laissez vous emporter par la fantaisie malicieuse et cruelle de
 Jean Teulé qui dit l'extraordinaire des destins ordinaires.



AVIS 


« Il y a maintenant quelque chose venu de nous deux qui vole dans le bleu du ciel. » 


Entre meurtres et histoires noires, Jean Teulé a déjà prouvé son talent dans ce genre sérieux et rarement gai. N'ayant fait l'expérience de son écriture qu'une seule fois avec Fleur de tonnerre où il racontait la vie de la plus grande tueuse en série de Bretagne, j'ai souhaité le retrouver dans un style qu'il pratique moins mais qui, je pensais, me plairait beaucoup plus. La nouvelle est un genre qui m'incommode le plus souvent. Soit j'en attends toujours davantage, ayant apprécié les personnages et/ou l'univers, soit je me demande la raison de ce récit que je ne trouve pas abouti ou intéressant. Je n'ai pas souvent été convaincue par ce genre littéraire, et ce n'est pas Jean Teulé qui aura réussi à me faire changer d'avis. Je le pressentais déjà avec Fleur de tonnerre : je n'arrive pas à me faire au style de l'auteur. Parfois plutôt poétique, simple, et parfois assez familier voire grossier, je n'arrive pas à discerner la subtilité de ce mélange et le plus souvent, ces phrases tombent à plat pour moi. Je sais que c'est un auteur très apprécié avec de beaux succès tel que Le Magasin des suicides, seulement, je comprends maintenant qu'il est peut-être sage de ne pas insister et d ne pas renouveler l'expérience avec cet écrivain.

Néanmoins, j'ai réussi, lors de mon long trajet en voiture, à apprécier la majorité de ces nouvelles, même si je ne me souviendrais que de quelques-unes. C'est parfois touchant, vrai, humain. C'est aussi parfois un peu trop banal mais pour la plupart de ces récits, on reste accroché à ce que nous raconte Jean Teulé. Certaines histoires sont explicitement autobiographiques et pour les lecteurs déjà fans de l'écrivain, ça peut être très agréable. Il raconte alors des brefs épisodes ressortis de ses souvenirs, notamment celui de la maison qui chante et qui revient plusieurs fois dans le recueil. J'ai aussi apprécié la fraîcheur du texte, le fait de retrouver l'auteur dans un genre tout à fait différent de ce qui fait d'habitude, de pouvoir sourire parfois de ces histoires sans attendre tomber le couperet. 


« - Avec dorénavant un poids en moins, je me sens soulagée. [...]
- Bon, la mort c’est réglé. Maintenant, on peut vivre…
»



CONCLUSION
Je suis loin d'être fan du style de Jean Teulé, ce que je
 remarque avec ce nouveau livre, mais certaines nouvelles
 m'ont bien plu et sont rafraichissantes.

dimanche 22 janvier 2017



Les livres de la semaine :
    
Lais féeriques des XIIe et XIIIe siècles (1992), Collectif : Des histoires chevaleresques très courtes, pour la majorité intéressantes même si souvent le même schéma se répète. C'est accessible et pour ceux qui aiment la période du Moyen-Âge et qui auraient déjà lu les lais de Marie de France, vous pourriez aimer ceux-ci.
--> 14/20
La Comédie à l'âge classique (1997) de Michel Gilot & Jean Serroy : Ce livre n'aura pas de chronique sur le blog mais j'ai quand même voulu noter toutes mes lectures de la semaine. Cet essai sur la comédie française, mais également italienne et espagnole quelques fois, est assez intéressant. On en découvre les origines antiques et médiévales et pour mes études, ce que j'ai appris va sûrement me servir.

La chronique publiée cette semaine :

Retour parmi les hommes, Philippe Besson

Le film de la semaine :
Ma vie sans moi (2003) d'Isabel Coixet : Sur le papier, l'histoire me tentait mais j'ai vraiment eu du mal à regarder le film en entier. C'est beaucoup trop mou pour moi. Mark Ruffalo est le seul acteur que j'ai appréciais voir dans ce flm. Le personnage principal ne m'a malheureusement fait aucun effet, et si j'ai été un peu émue par ce qui lui arrive, ça n'a pas suffit pour me faire apprécier ce film.
--> 12/20

Les séries de la semaine :
Emerald City saison 1 (2017) épisode 3 : Bon, je crois que c'est vraiment pas fait pour moi. Je lis pas mal de bons avis (d'autres moins bons évidemment) et je ne comprends pas. J'ai failli véritablement m'endormir devant ce troisième épisode. L'intrigue est molle, certaines choses arrivent avec leurs gros sabots, et les acteurs ne me convainquent vraiment pas, même Vincent D'Onofrio.
--> 8/20
Colony saison 1 (2016) épisodes 1 à 2 : J'avais vraiment hâte de commencer cette série, principalement pour les deux personnages principaux qu'on a pu rencontrer l'un dans Lost, l'autre dans The Walking dead et Prison Break. Pour le moment avec ces deux premiers épisodes, je suis un peu mitigée. J'ai vraiment apprécié le premier épisode, son déroulement, l'image, mais l'intrigue n’est pas encore assez solide. C’est plutôt linéaire et sans surprise pour le moment. Mais je compte continuer pour lui laisser sa chance.
--> 14,5/20
Shameless saison 7 (2016) épisodes 9 à 12 : Je suis toujours autant sous le charme de TOUS les personnages. Le retour de Monica a eu quelque chose de bon, même si c'est surprenant à dire. Le dernier épisode aurait pu être un parfait épisode final de la série, les Gallagher ayant tous à peu près leur petit happy ending. Mais je suis trop contente de pouvoir les retrouver l'année prochaine dans une huitième saison !
--> 18/20



Et vous, qu'avez-vous lu/vu cette semaine ?