mardi 19 septembre 2017

Comme une pierre que l'on jette, Hayat El Yamani
En retrouvant par hasard son amour d’étudiante sur Facebook, Frida n’imaginait pas
 que tant de souvenirs remonteraient à la surface. Les photos et les actualités qui défilent
 font ressurgir dans sa tête admiration, frustration, et quantité de sentiments enfouis. Elle
 ressent à nouveau l’intimité partagée vingt ans plus tôt, le doute, la jalousie, le renoncement.
 Alors elle rédige un message qui, comme une bouteille lancée à la mer, ramènera dans son
sillage bien des surprises.
AVIS 
Reçu par les éditons Persée que je remercie, Comme une pierre que l'on jette ne m'aura malheureusement pas convaincu. Le résumé m'intriguait pourtant pas mal, loin de ce que je lis habituellement. Un amour retrouvé par le biais des réseaux sociaux, notamment ici par Facebook, était une bonne idée de départ. Je me suis alors laissée portée par les premières pages de ce roman, ressentant rapidement une gêne. J'ai vite compris que le style d'écriture ne me convenait pas. L'auteur maroco-française Hayat Al Yamani n'en est pas à son premier roman, Comme une pierre que l'on jette étant son cinquième. Mais dès les premières pages, je n'ai pas réussi à être transportée par cette écriture que je ressentais comme trop simpliste, constituant en majorité des phrases simples qui se succèdent. Et lorsque le lecteur n'accroche pas avec la plume d'un auteur, il lui est difficile, voire insurmontable, de réussir à dépasser cette gêne afin d'apprécier le fond de l'histoire. Mais en contre point, si j'étais au départ désenchantée face au récit écrit à la première personne, j'ai vite compris le choix de l'auteure. Frida, cette mère et femme mariée, s'adresse directement à ce Clark qu'elle avait presque oublié et qu'elle a eu du mal à reconnaître sur cette photo de profil. C'est directement à lui qu'elle écrit et qu'elle clame son amour passé d'étudiante. Le lecteur, en plus d'être à la place du spectateur, est personnellement concerné par l'histoire prenant la peau de Clark. 

Et qu'en est-il de cet amour lointain ? Et bien, on pourrait déjà l'indiquer comme unilatéral. Car dès lors que Frida s'emploie à raconter sa rencontre puis son quotidien avec Clark, on comprend que ce jeune homme est loin d'en pincer pour cette jeune étudiante de vingt ans qu'il considère davantage comme une petite sœur. Ses pensées totalement accaparées par sa relation longue distance avec sa petite amie plus sauvage et irrésistible, Clark ne remarque même pas la naissance de l'amour qui se crée dans le cœur de Frida. Celle-ci jouera alors le rôle parfois de spectatrice dans la grande pièce de théâtre qu'est la vie de Clark, homme charismatique et inspirant, tantôt celui de confidente face aux épanchements de cœur et lamentations de ce dernier. Une réelle amitié va se former entre ses deux personnes qui s'apprécient tout en étant très différentes et Frida décrit très bien ce qu'elle a pu ressentir à tel ou tel moment aux côtés de Clark. Et toutes ces émotions qui ressurgissent en elle après toutes ces années, cela fait beaucoup pour Frida. 

Même si j'ai eu du mal au départ à réellement la comprendre lors de ses jeunes années, on peut être vite transporté par sa douceur et par ce qu'elle écrit dans cette lettre pour Clark mais surtout pour elle-même. Une lettre qui va l'aider à revivre avec plus de sérénité les événements passés. Car amour, amitié, doutes et trahisons s'entrelacent dans ce passage à la vie adulte. L'auteure exploite très bien les thèmes amenés avec douceur et souvent finesse, mais ça n'aura pas suffit malheureusement à me convaincre. J'ai été dès le début dérangée par le style d'écriture qui ne m'aura pas permis d'apprécier pleinement ce récit qui se révèle bon et intéressant si on arrive à aimer le fond et la forme. Je recommanderai donc principalement cet ouvrage aux lecteurs/lectrices qui souhaitent passer un moment de détente ou découvrir un roman avec des émotions et réflexions positives et qui peuvent apprécier une écriture simple mais pour certains entraînante.



CONCLUSION
Je m'attendais au récit d'un amour déçu ou qui s'était mal
 terminé mais je suis tombée sur l'amour tu d'une jeune fille à
 son meilleur ami. L'histoire recèle beaucoup de douceur mais
 je n'ai malheureusement pas réussi à me faire au style
 d'écriture, ce qui a quelque peu gâché ma lecture.

lundi 18 septembre 2017

Mégavore, Brice Milan
Un jeune homme ordinaire Tom, se balade dans une cité futuriste . Plus il s'enfonce dans
 le cœur de la mégapole, plus il a l'impression d'être épié, suivi. Peu à peu, il a la sensation
 que la ville se referme sur lui, cherche à l'ingérer. Est-ce sa raison qui défaille ? Récemment,
 il a fait une dépression après la perte de son amie, Amy, qui a été retrouvée morte au pied de
 la plus haute tour de la mégapole. Attiré irrésistiblement vers le lieu de la tragédie, Tom espère
comprendre pourquoi la femme qu'il aimait s'est suicidée.
 
 
 
AVIS
 
 
Ayant déjà eu l'opportunité de lire La Belle Assise de Brice Milan, je n'ai pas hésité lorsque celui-ci m'a proposé, et je l'en remercie, de découvrir cette nouvelle de science-fiction, Mégavore. Cette nouvelle de quelques pages transporte le lecteur dans un monde futuriste où la technologie a pris réellement le pas sur la société. Alors que les robots sont acceptés dans le quotidien, Tom lui, va chercher à comprendre ce qui a déclenché l'insurmontable, l'impossible dans sa vie. Depuis la perte d'Amy, il ne sait comment avancer sans elle dans cette ville qui semble l'emprisonner, le retenir. Il ne comprend pas le geste de détresse de la femme qu'il aimait, les raisons pour lesquelles Amy a sauté de la plus haute tour de la ville. N'ayant jamais osé se rendre sur les lieux de l'incident, Tom décide finalement de venir au pied de cette tour et projette de comprendre l'inimaginable. Il va alors y faire une rencontre inattendue qui va l'aider malgré elle à trouver les réponses à ses questions. 
 
Il faut savoir que je suis férue de récits fantastiques ou fantasy, beaucoup moins de science-fiction. En tout cas, j'essaye toujours de privilégier certains thèmes ou au contraire d'en fuir le plus possible, notamment les robots. Je ne suis absolument pas cliente des histoires sur les nouvelles technologies ou de robots/cyborgs qui se retournent contre son Créateur, l'être humain. Mais j'ai été réellement surprise d'entrer aussi facilement et sans complications dans cette cité du futur. Une sensation de grandeur et d'immensité qui tout à la fois nous enveloppe ou nous comprime se ressent sensiblement. Il est dur de parler d'une nouvelle s'en trop en dévoiler mais je dois dire que l'écriture de l'auteur m'a davantage convaincue ici que dans La Belle Assise. J'ai trouvé que les descriptions amenées s'accordaient davantage à la science-fiction où il est toujours préférable d'apporter divers approfondissements et esquisses afin de s'immerger complètement dans l'univers proposé. Je suis alors contente d'avoir pu découvrir Brice Milan dans un tout autre genre et je vous invite si ce n'est pas déjà fait, à s'épancher sur sa bibliographie dont vous pouvez retrouver quelques récits sur son compte Wattpad. 




Et ce n’est pas fini ! Le concours de la nouvelle en ligne de Nolim parrainé par Franck Thilliez, auteur français reconnu pour ses nombreux thrillers, a retenu la nouvelle Frappe au coeur ! de Brice Milan. Jusqu'au 27 septembre, vous pouvez découvrir ce huit-clos oppressant et voter pour lui en cliquant ici. N'hésitez pas à lire cette courte nouvelle qui le mérite ! 



« le voyage risque de n'être qu'un aller simple. Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre, finalement ?
 Je suis venu pour honorer la mémoire d'une morte, moi-même à la croisée des mondes. »
 
 
 
AUTRE AVIS SUR CET AUTEUR
http://entournantlespages.blogspot.fr/2017/06/la-belle-assise-brice-milan-jean-yves.html

dimanche 17 septembre 2017



Les livres :
        
  • Sans issue : Les Ombres tome 3 (2017) de Svetlana Kirilina : Si on avait demandé à Dimitri ce l’avait mis dans cet état, il aurait sûrement accusé les photos. Les photos et ce « truc » qui n’allait pas dessus. Ce truc qui semblait clocher. Ce truc qu’il n’arrivait même pas à nommer. Pas grand-chose, vraiment. Juste un truc.
Et encore un épisode court mais captivant. Dimitri et Anna sont à la recherche de la vérité, une quête qui peut paraître vaine face aux embûches sur leur chemin. Mais on apprécie suivre leurs péripéties au sein de cette atmosphère lourde sous la tempête presque perpétuelle.
--> 19/20 (chronique)


  • Mégavore (2017) de Brice Milan : Un jeune homme ordinaire Tom, se balade dans une cité futuriste. Plus il s'enfonce dans le coeur de la mégapole, plus il a l'impression d'être épié, suivi. Peu à peu, il a la sensation que la ville se referme sur lui, cherche à l'ingérer. Est-ce sa raison qui défaille ?
Après La Belle Assise, je découvre Mégavore de l'auteur, une nouvelle de science-fiction intéressante, où le danger de l'homme peut être aussi bien les technologies que lui-même.
--> 17/20


  • Comme une pierre que l'on jette (2016) de Hayat El Yamani : En retrouvant par hasard son amour d’étudiante sur Facebook, Frida n’imaginait pas que tant de souvenirs remonteraient à la surface. Les photos et les actualités qui défilent font ressurgir dans sa tête admiration, frustration, et quantité de sentiments enfouis. Elle ressent à nouveau l’intimité partagée vingt ans plus tôt, le doute, la jalousie, le renoncement. Alors elle rédige un message qui, comme une bouteille lancée à la mer, ramènera dans son sillage bien des surprises.
Le résumé m'intéressait pas mal mais finalement, je me suis vite ennuyée de cet amour unilatéral. Je pense que ma lassitude est premièrement venue dû au style d'écriture de l'auteure auquel je n'ai malheureusement pas accroché.
--> 12/20



La chronique :
L'Ombre du papillon (2016) de Marilyse Trecourt



Les acquisitions :
         



Les films :
    
  • La French (2014) de Cédric Jimenez : Marseille. 1975. Pierre Michel, jeune magistrat venu de Metz avec femme et enfants, est nommé juge du grand banditisme. Il décide de s’attaquer à la French Connection, organisation mafieuse qui exporte l’héroïne dans le monde entier. N’écoutant aucune mise en garde, le juge Michel part seul en croisade contre Gaëtan Zampa, figure emblématique du milieu et parrain intouchable. Mais il va rapidement comprendre que, pour obtenir des résultats, il doit changer ses méthodes.
J'en avais entendu beaucoup de bien et je n'ai pas été déçue. J'ai trouvé Jean Dujardin et Gilles Lelouche très convaincants dans leur rôle respectif et l'histoire ne traîne pas en longueur. J'ai apprécié en apprendre davantage sur la French connection qui sévissait principalement à Marseille, surtout avec un film comme celui-ci.
--> 16/20


  • Café society (2016) de Woody Allen : Dans les années 1930, un jeune homme se rend à Hollywood dans l'espoir de travailler dans l'industrie du cinéma. Il tombe amoureux et se retrouve plongé dans l’effervescence de la Café Society qui a marqué cette époque.
Avec ce casting 5 étoiles, je ne pouvais pas passer à côté de ce film. Alors, je ne suis pas très fan de Woody Allen, ayant vu je crois qu'un seul film de lui, Minuit à Paris, et je ne suis pas sûre d'avoir envie de le découvrir davantage. La photographie, les couleurs et le montage sont magnifiques, les acteurs incarnent parfaitement leurs personnages, découvrant en plus une nouvelle facette de Kristen Stewart, mais l'histoire ne vole pas très haut. Du déjà vu et du très prévisible, l'histoire d'amour entre Bobby et Vonnie m'a partiellement intéressé car on sait comment va se dérouler leur idylle. Pour finir, je n'ai pas apprécié la fin ouverte qui ne nous laisse malgré tout sur notre faim.
--> 14/20



Les séries télé :
    
  • The Handmaid's tale saison 1 (2017) épisodes 1 à : Dans un monde dystopique où la femme est au centre du pouvoir car elle est en voie de disparition, chaque femme est séparée en trois classes : les Épouses qui ont le pouvoir, les Marthas qui s’occupent de la Maison et enfin les Servantes écarlates dont l’unique rôle est la reproduction. Dans ce futur où la reproduction se fait rare à cause de la pollution, la religion prend le pas sur la politique dans une sorte de gouvernement totalitaire.
Après le succès qu'elle remporte, j'ai voulu moi aussi découvrir cette nouvelle série adaptée du roman La Servante Écarlate. Les deux premiers épisodes sont rapidement oppressants et arrivent parfaitement à retranscrire cette société totalitaire où l'horreur, notamment pour les femmes, est présente à chaque instant. J'aime beaucoup la dose d'humour proposée par les commentaires du personnage principal, cette servante très forte et captivante. J'ai très hâte de continuer !
--> 17,5/20


  • White gold saison 1 (2017) épisodes 1 à 6 : En 1983, dans l'Essex, Vincent, un jeune vendeur charismatique, dirige une petite entreprise de vente de double vitrage. Avec un seul mot d'ordre pour lui et son équipe de vendeurs : ne pas hésiter à user de tous les stratagèmes pour assurer une vente auprès des clients potentiels...
Si la série n'avait pas atterri sur Netflix, je ne l'aurais sûrement pas vu alors que c'est assez sympathique. Le résumé n'est pas fou mais cette première saison est assez décalé et j'aime beaucoup l'humour qui s'insère facilement dans chacune des scènes. Six épisodes de trente minutes, c'est très rapide à regarder. Le seul bémol pour moi est que j'ai eu l'impression de retrouver Chuck Bass de Gossip Girl dans les années 80 avec un sens de la dérision beaucoup plus présent. Mais l'acteur joue très bien son rôle de commercial arrogant, prêt à tout pour vendre son produit, et parfois vulgaire.
--> 15/20
  

Et vous, qu'avez-vous lu/vu cette semaine ?

vendredi 15 septembre 2017

L'Ombre du papillon, Marilyse Trecourt
Avez-vous déjà eu envie de remonter le temps pour réparer vos erreurs, effacer la parole
 malencontreuse que vous n’auriez pas dû prononcer, oser aborder cet inconnu que vous ne
 reverrez plus, reposer ce verre qui vous a fait perdre le contrôle de votre voiture, accorder plus
 d’attention aux êtres que vous aimiez avant qu’ils ne disparaissent ? C’est malheureusement
 impossible. Pas dans la réalité telle que nous la connaissons. Mais n’existe-t-il pas une
 dimension parallèle à la nôtre dans laquelle d’autres choix sont possibles ? Thomas a eu
 cette opportunité. De l’autre côté du ciel, sa grand-mère lui a accordé vingt ans pour
 revivre le cours de son existence. Aura-t-il le courage de bouleverser le cours de sa
 vie ? Oubliera-t-il son passé, sa femme et ses enfants ? Saura-t-il éviter le chaos provoqué
 par le battement d’ailes du papillon ? Parviendra-t-il à déjouer le drame qui a causé sa perte ?
 Cette histoire vous invite dans un voyage dans le temps, dans une existence trépidante, faisant
 rimer bonheur et douleur, victoires et désespoir. Elle nous amène à comprendre que si nous
 ne pouvons remonter le le temps, nous pouvons néanmoins être l’acteur de notre vie, et non 
plus un simple figurant.
 
 
 
AVIS


Thomas a beau avoir une femme et deux enfants qu'il aime et un emploi stable, lorsqu'il lui ait donné la possibilité de recommencer sa vie, il n'hésite pas longtemps. Alors qu'il retourne dans la crique où se situe la maison de ses défunts grands-parents, il va mystérieusement perdre la vie. Alors, tel que dans un rêve, il va lui être possible de revoir sa grand-mère Héloïse au sein de sa maison. Elle va lui proposer de revenir à ses dix-huit ans et de changer ou non ses actions afin de modifier son avenir. Quand Thomas regarde en face son existence, il comprend qu'il n'est pas complètement heureux, que sa relation avec sa femme est devenue assez superficielle. Alors il accepte la suggestion d'Héloïse et le revoilà donc à dix-huit ans en 1995, chez ses parents avec ses deux sœurs. Thomas va devoir réussir à appréhender cette époque révolue pour lui, cette dernière ne connaissant pas encore les technologies et les avancées scientifiques d'aujourd'hui. Il doit faire alors attention à ne pas dévoiler des informations du futur, de peur qu'on le prenne pour un fou. 

Thomas va avoir vingt ans pour décider de ses choix de carrière, sentimentaux, amicaux. Car lorsqu'il arrivera dans cette seconde vie à l'âge de trente-huit ans en 2015, il lui faudra faire un choix : garder cette seconde existence ou l'effacer pour revenir à la première. Il est intéressant de suivre ce personnage doté d'une expérience de la vie dans un corps de jeune adulte. Il remarque qu'il est plus réfléchi et que surtout il ose davantage affirmer ses choix, notamment face à son père. Il se dirige alors vers le journalisme et la photographie, ce qui l'amène après le bac à partir de Toulon pour Paris avec sa meilleure amie Mylène. Il œuvre à s'épanouir dans cette deuxième jeunesse loin de ses parents pour le brider. Mais déjà avec son départ pour Paris, Thomas va comprendre une chose fondamentale qui va régir sa deuxième vie : l'effet papillon. Un seul changement peut avoir de fortes conséquences sur lui-même mais aussi sur ses proches. 

Thomas va alors entreprendre un long périple où il va tenter de faire les meilleurs choix pour lui. Il influence donc ses choix personnels en fonction de ce qu'il a déjà vécu et de ce qu'il connaît des événements à venir, mais influence également la vie de ses proches, ce qui est d'autant plus intéressant à suivre. La notion du destin est très bien employée dans certains cas, nous présentant la fatalité de certaines choses. Thomas ne cesse donc de se surprendre face aux différences entre ses deux existences. J'ai apprécié que l'auteure prenne le temps de s'intéresser avec maintes passages à la vie de la mère de Thomas, de sa soeur Bénédicte, mais également à celle de Mylène et de Gaël, ses meilleures amis. Il n'est pas difficile de s'attacher à tous ces personnages dont on découvre les épreuves, les hauts et les bas, et leurs manières de surmonter le malheur et parfois l'impossible. Même si je n'étais pas complètement convaincue par le début de cette histoire, je n'ai pu qu'être rassurée par la suite profondément émouvante et humaine.  

Certains protagonistes se révèlent plus forts qu'ils ne le laissaient paraître de prime abord et avec cette vie parallèle, il est drôle de voir qu'il n'y a pas que Thomas qui arrive à s'améliorer et à s'épanouir pleinement. En dehors de nombreuses nouvelles expériences, cette seconde vie va être également l'occasion pour Thomas d'en découvrir davantage sur lui même et sur ses origines. Une véritable quête vers la vérité va être entrepris, semée certes d'embûches mais qui ne va que renforcer l'acharnement de cet homme à arriver jusqu'au bout. Le lecteur aura parfois envie de le secouer, de le ménager, de l'encourager, de le féliciter,etc... Thomas se révèle être un personnage principal très intéressant à découvrir à travers ses nombreuses facettes. Et après ces vingt ans que nous découvrons de manière morcelée, que va-t-il décider ? Restera-t-il dans cette seconde vie ou choisira-t-il de revenir vers sa "première" famille ? Je remercie donc Librinova et la plateforme NettGalley pour m'avoir permis découvrir ce roman fort émouvant et inspirant.



CONCLUSION
Un roman profondément émouvant par les épreuves que
doivent surmonter les personnages, ces derniers se révélant
forts face à la vie. Thomas va-t-il réussir à davantage
s'épanouir dans cette seconde existence ? En tout cas, il est
 très intéressant de découvrir ses nouveaux choix de vie.

mercredi 13 septembre 2017

Sans issue : Les Ombres tome 3, Svetlana Kirilina
Si on avait demandé à Dimitri ce l’avait mis dans cet état, il aurait sûrement accusé les photos.
Les photos et ce « truc » qui n’allait pas dessus. Ce truc qui semblait clocher. Ce truc
 qu’il n’arrivait même pas à nommer.
Pas grand-chose, vraiment.
Juste un truc.
 
 
 
AVIS 
 
 
Après une pause de quelques mois avec Sans issue, je reviens vous parler aujourd'hui du troisième épisode de cette saga, Les Ombres, tout aussi court que les précédents mais également tout aussi intéressant. Comme toujours, cet épisode est totalement indépendant des deux premiers et de ceux qui suivront et malgré tout, il n'est jamais difficile de se plonger dans cette nouvelle histoire dont on ne connaît rien. Au contraire, Svetlana Kirilina arrive dès le début à dompter notre intérêt et à nous distiller à sa guise des informations sur l'univers et les personnages afin que le lecteur soit toujours envieux de connaitre la suite. L'auteure s'emploie souvent à créer dès le début de son histoire une atmosphère particulière, qui m'a personnellement accroché au premier "coup d'oeil".

Après une séance au cinéma, Dimitri se retrouve coincé au côté d'Anna dans un café, se réfugiant de la tempête. C'est alors que cette rencontre entre ces deux personnages qui aurait pu se révéler éphémère se prolonge finalement dans le temps autour d'un intérêt commun : le mystère autour de photos particulières. Il ne sait pourquoi mais Dimitri ne peut s'empêcher de regarder ces photos, de leur trouver une aura singulière. Pour lui, quelque chose a disparu à l'intérieur de ces photos, et avec l'aide d'Anna, il va persévérer dans sa recherche de la vérité. Dans cet après futuriste qui est souvent lié aux nouvelles technologies et surtout à la mémoire, Dimitri et Anna vont devoir faire face aux révélations parfois difficiles à comprendre, parfois durs à accepter.  

J'ai encore davantage apprécié cet épisode grâce vraiment à cette atmosphère pesante dû cette tempête continuelle qui ne fait que se rapprocher plus rapidement les deux protagonistes. Leurs recherches sont intéressantes même si j'ai trouvé que cette fois-ci, c'était vraiment trop court ! Je suis toujours convaincue par le style d'écriture et par les récits que nous propose Svetlana Kirilina que je remercie pour m'avoir permis de découvrir ce troisième épisode.


« Elle ravala ses larmes et lui prit le visage entre les mains. Elle voulait croiser son regard encore
 une fois, elle voulait sentir leurs cœurs battre à l’unisson. Elle ne voulait pas que ça s’arrête.
 Mais elle ne pouvait pas le retenir de force. »



CONCLUSION
Un nouvel épisode très réussi par l'atmosphère qu'il propose
 plus subtil que le premier pour ce qui est des actions du
 gouvernement sur cette société future.



AUTRES AVIS SUR CETTE SAGA
http://entournantlespages.blogspot.fr/2017/05/sans-issue-le-silence-tome-1-svetlana.html   http://entournantlespages.blogspot.fr/2017/05/sans-issue-le-lac-tome-2-svetlana.html

AUTRES AVIS SUR CETTE AUTEURE
http://entournantlespages.blogspot.fr/2017/05/les-pates-froides-svetlana-kirilina-des.html   http://entournantlespages.blogspot.fr/2016/02/la-septieme-face-et-la-grande-coasseuse.html

dimanche 10 septembre 2017



Le livre :
  • L'Ombre du papillon (2016) de Marilyse Trecourt : Avez-vous déjà eu envie de remonter le temps pour réparer vos erreurs, effacer la parole malencontreuse que vous n’auriez pas dû prononcer, oser aborder cet inconnu que vous ne reverrez plus ? Thomas a eu cette opportunité. De l’autre côté du ciel, sa grand-mère lui a accordé vingt ans pour revivre le cours de son existence. Aura-t-il le courage de bouleverser le cours de sa vie ? Oubliera-t-il son passé, sa femme et ses enfants ? Saura-t-il éviter le chaos provoqué par le battement d’ailes du papillon ? Parviendra-t-il à déjouer le drame qui a causé sa perte ? Cette histoire vous invite dans un voyage dans le temps, dans une existence trépidante, faisant rimer bonheur et douleur, victoires et désespoir. Elle nous amène à comprendre que si nous ne pouvons remonter le le temps, nous pouvons néanmoins être l’acteur de notre vie, et non plus un simple figurant.
Même si j'ai mis un peu de temps à entrer dans l'histoire, celle-ci m'a complètement happée par la suite. Thomas est un homme qui a la chance de recommencer sa vie en changeant certains de ses choix. Sa quête de bonheur va passer par un chemin constitué de pas mal d'embûches et de déconvenues, ce qui ne rendra son aventure que plus émouvante et humaine. À lire !   --> 19/20



La chronique :
L'Interphone ne fonctionne toujours pas tome 2 (2017) de Pierre-Etienne Bram



Les acquisitions :
     
     
  



Le film :
  • Seven sisters (2016) de Tommy Wirkola : 2073. La Terre est surpeuplée. Le gouvernement décide d’instaurer une politique d’enfant unique, appliquée de main de fer par le Bureau d’Allocation des Naissances, sous l’égide de Nicolette Cayman. Confronté à la naissance de septuplées, Terrence Settman décide de garder secrète l’existence de ses 7 petites-filles. Confinées dans leur appartement, prénommées d’un jour de la semaine, elles devront chacune leur tour partager une identité unique à l’extérieur, simulant l’existence d’une seule personne : Karen Settman. Si le secret demeure intact des années durant, tout s’effondre le jour où Lundi disparaît mystérieusement…
La bande annonce m'avait vraiment donné très envie, étant très friande des histoires entre jumeaux/jumelles. Ce qui m'a le plus frappé sont les scènes d'actions qui ne se censurent pas avec de "vrais" combats et du sang, et l'intrigue est bien ficelée. Néanmoins, j'ai ressenti quelques moment de flottements dans la première partie et le final est très prévisible.   --> 16/20
Les séries télé :
    
  • Game of thrones saison 7 (2017) épisodes 4 à 8 : Il y a très longtemps, à une époque oubliée, une force a détruit l'équilibre des saisons. Dans un pays où l'été peut durer plusieurs années et l'hiver toute une vie, des forces sinistres et surnaturelles se pressent aux portes du Royaume des Sept Couronnes. La confrérie de la Garde de Nuit, protégeant le Royaume de toute créature pouvant provenir d'au-delà du Mur protecteur, n'a plus les ressources nécessaires pour assurer la sécurité de tous. Après un été de dix années, un hiver rigoureux s'abat sur le Royaume avec la promesse d'un avenir des plus sombres. Pendant ce temps, complots et rivalités se jouent sur le continent pour s'emparer du Trône de Fer, le symbole du pouvoir absolu.
Ces quatre derniers épisodes sont déments. Certes, cette saison était parfois très convenue, nous attendant à pas mal de choses, mais ça n'aura pas boudé mon plaisir. Beaucoup de personnages se rejoignent, créant parfois des équipe improbables mais jouissives. Les camps sont parfaitement délimités avec d'un côté la reine Cersei prête à tout pour garder le pouvoir en grande Lannister qu'elle est, et de l'autre Daenerys qui souhaite apporter un vent nouveau sur les Sept Royaumes. Mais l'ennemi au Nord va sûrement se montrer encore plus insurmontable que les deux reines, souhaitant apporter le froid de l'hiver sur tout Westeros.   --> 18,5/20
 
  • Orphan black saison 2 (2014) épisodes 3 à 10 : Témoin du suicide d’une jeune femme qui lui ressemble étrangement, Sarah Manning, escroqueuse professionnelle, décide d’usurper son identité.Mais était-ce vraiment une bonne idée ? Le monde dans lequel Sarah s’apprête à mettre les pieds va se révéler bien plus terrifiant que tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Et ce qu’elle va découvrir sur elle-même et ses origines va à jamais bouleverser sa vie.
J'ai u petit moins apprécié cette deuxième saison n'ayant pas toujours compris l'intérêt à l'intrigue sur les religieux. Allison est quelque peu absente mais les autres clones brillent par leur présence telles que Sarah, Helena, Cosima et Rachel, petite nouvelle très impressionnante et dictatoriale. L'action est encore au rendez-vous même s'il est parfois complexe d'assimiler tout le déroulement sientifique sur l'ADN, la constitution des clones, et le rôle de chacun dans toute cette expérience. Le season final donne trs envie de voir la suite avec une nouvelle donnée mis en jeu qui peut se révéler très intéressante dans la troisième saison. Seul le rôle et le camp de Madame S. et de Paul restent une énigme pour moi.   --> 17,5/20

lundi 4 septembre 2017

L'Interphone ne fonctionne toujours pas tome 2, Pierre-Etienne Bram
« Hola je m'appelle Celia ». Il y a 300 jours, déjà, c'est avec ces mots que j'étais tombé
 sous le charme de cette belle Argentine, rencontrée sur Meetic. Sa voix n'avait fait que
 confirmer mon attirance pour elle. Pourtant, nous ne nous étions toujours pas rencontré... 
J'avais commencé à douter sérieusement de la réalité de son existence vu qu'aucun de
 nos rdv IRL n'avaient abouti. « Elle est bien réelle et belle comme sur ses photos » m'avait
 rassuré Caroline, une amie qui, avec son mari, l'avaient rencontrée. Comment expliquer alors
 son refus perpétuel de concrétiser notre amour ? Tant d'énergie et de temps peut-être perdu, 
je désespérais de la tenir un jour dans mes bras. Mais en persévérant, on arrive à tout...



AVIS


Plus d'un an après leur rencontre sur internet, Celia ne finit pas de jouer avec les nerfs de notre narrateur passionné et indubitablement amoureux de sa chère et tendre. N'ayant déjà presque plus d'espoir de les voir se rencontrer enfin, j'ai néanmoins voulu connaître le fin mot de l'histoire et savoir si enfin, une rencontre dans la vie réelle allait avoir lieu. Pierre-Etienne Bram nous offre encore un récit dynamique à lire, le lecteur tournant avec rapidité les pages en quête de la vérité. Mais les nombreux lapins et excuses bidons de Celia, on commence à en avoir une collection. Comme notre cher narrateur, nous nous attendons plus que jamais à du concret. Néanmoins, la belle brésilienne n'est pas encore prête à se dévoiler ce qui malheureusement peut rapidement lasser. L'intrigue se répète et tourne un peu en rond jusqu'à ce qu'on arrive à interpréter les signes laissés par l'auteur et comprendre le secret de Celia. 

Mais avant tout, même si le narrateur commence à ne plus vraiment croire à ses possibilités de rencontrer sa bien-aimée, il continue de s'accrocher coûte que coûte, étant prêt à tout pour la voir au moins une fois. Fortement aidé par son amie Caroline, il manquera parfois Celia de peu, ce qui ne fera qu'augmenter son exaspération face à cette relation fantôme. Le charme de Celia s'étant envolé depuis bien longtemps pour moi, je n'attendais que les réponses à mes questions, en ayant de plus en plus assez de ses excuses et de ses remontrances nullement justifiées contre le narrateur. Quant à celui-ci, il est difficile de lui en vouloir de s'accrocher autant. Il aura finalement travaillé pendant près de deux ans à tenter de voir Celia, et il n'est pas prêt à rester face à un échec cuisant. 

Lui qui parait habituellement attachant et sympathique m'a paru davantage odieux lorsqu'il faisait part au lecteur de sa relation avec Caroline. On apprend dans ce second tome qu'il la considère très peu, la percevant simplement comme un appât afin d'approcher plus facilement Celia. Cette façon d'utiliser Caroline m'a d'abord rebuté même si j'avais déjà quelques réserves sur cette femme toujours prête à aider notre narrateur. Car elle sera davantage présente dans ce tome à essayer de réunir les deux tourtereaux, que ce soit à des soirées ou dans sa maison de vacances en sa compagnie. Mais notre narrateur manquera toujours de peu sa dulcinée. On commence même avant le narrateur à comprendre le fin mot de l'histoire, celui-ci ayant souvent un temps de retard dû à l'envoûtement qu'opère continuellement Celia sur lui. Au final, la fin ne m'a paru très surprenante sans me gâcher ma lecture. J'ai été contente d'apprendre enfin la vérité sur cette histoire bien ficelée mais qui manquait parfois de renouveau dans l'intrigue comparé au premier tome. Je remercie beaucoup Pierre-Etienne Bram pour l'avoir proposé de lire son roman.



CONCLUSION
Une conclusion parfois redondante mais finalement toujours
 intéressante à lire. Le narrateur n'est pas toujours agréable
 avec les gens autour de lui mais sait se montrer sympathique et
 vrai aux yeux des lecteurs.



AUTRE AVIS SUR CETTE SAGA
http://entournantlespages.blogspot.fr/2017/08/linterphone-ne-fonctionne-toujours-pas.html

dimanche 3 septembre 2017


Salut ! Malgré ma petite absence sur le blog dû aux vacances, j'ai réussi à garder un bon rythme de lecture avec ce mois-ci quatorze livres lus dont un coup de cœur. Beaucoup de partenariats, mais également des livres papier qui m'ont permis de baisser légèrement ma PAL.



Les lectures :
  • La Vérité sur l'affaire Harry Québert (2012) de Joël Dicker --> 20/20 (chronique) 
  • Timothy Blake : La mort en héritage (2017) de Bridget Page --> 19/20 (chronique) 
  • Tous les âges me diront bienheureuse (2017) d'Emmanuelle Caron --> 18/20 (chronique)


     
  • Une dose d'adrénaline (2017) de Thomas Lejeune --> 17/20 (chronique) 
  • Persuasion (1882) de Jane Austen --> 17/20 
  • Le Temps d'un croque (2016) de Pascal Barats & Michel Falicon --> 17/20 (chronique)


     
  • Jacques le fataliste et son maître (1796) de Denis Diderot --> 17/20 
  • Le Sacrifice des dames (2017) de Jean-Michel Delacomptée --> 16/20 (chronique) 
  • Des yeux de verre (2009) de Michel Marc Bouchard --> 16/20


     
  • Satan était un ange (2014) de Karine Giebel --> 13/20 
  • Corps d'État : Sous les cendres tome 1 (2017) de Christophe Martinolli --> 12/20 (chronique) 
  • La Lenteur (1997) de Milan Kundera --> 11/20


  
  • Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en a qu'une (2015) de Raphaëlle Giordano --> 08/20  
  • Vous n'êtes pas venus au monde pour rester seuls (2017) d'Eivind Hofstad Evjemo --> 07/20 (chronique)



Les acquisitions :
Des yeux de verre (2009) de Michel Marc Bouchard
L'Interphone ne fonctionne toujours pas tome 2 (2017 de Pierre-Etienne Bram
Le Sacrifice des dames (2017) de Jean-Michel Delacomptée
Jacques le fataliste et son maître (1796) de Denis Diderot
Corps d'État : Sous les cendres tome 2 (2017) de Christophe Martinolli
Timothy Blake : La mort en héritage (2017) de Bridget Page

Le Livre des Baltimore (2017) de Joël Dicker
Chaman (2017) de Maxence Fermine
La Tour sombre : Le Pistolero tome 1 (1991) de Stephen King
L'Ombre du papillon (2016) de Marilyse Trecourt
Rose noire : Test tome 1 (2017) de Claude Volange



Le prévisonnel :
     
  • L'Ombre du papillon (2016) de Marilyse Trecourt : Presque fini, ce roman se révèle très émouvant avec des personnages super attachants par ce qu'ils traversent et par les choix qu'ils prennent pour eux et pour leurs proches. J'ai hâte de découvrir comment ça va se finir. 
  • La Maison bleu horizon (2017) de Jean-Marc Dhainaut : C'est un partenariat de la part de la maison d'édition Taunarda qui m'intrigue. Je ne me rappelle pas avoir lu un livre de ce genre, sur les fantômes ou une maison hantée. J'espère apprécier autant que les films de fantômes que j'ai pu voir au cinéma. 
  • Les Aventuriers de la mer : Le Vaisseau magique tome 1 (2001) de Robin Hobb : J'avais commencé ce premier tome en juillet et même si j'aimais bien la rencontre avec ses divers personnages et le développement de l'univers riche de Robin Hobb, j'ai senti que ce n'était pas le moment. Mais maintenant, je veux le finir et, pourquoi, pas continuer ensuite sur ma lancée.


     
  • Le Livre des Baltimore (2015) de Joël Dicker : Après le coup de coeur que j'ai eu ce mois-ci pour La Vérité sur l'affaire Harry Québert, je ne pouvais pas passer à côté de ce livre-là lorsque je l'ai vu en librairie. J'ai quelques attentes qui j'espère ne seront pas déçues. Je suis contente en tout cas de retrouver bientôt Marcus. 
  • La Tournée d'automne (1997) de Jacques Poulain : Reçu par le biais de la box Kube, je n'ai pas encore trouvé le temps de le lire, mais avec bientôt l'arrivée du printemps (même si je ne veux pas encore y penser...), je pense que c'est la petite lecture idéale.
  • La Tour sombre : Le Pistolero tome 1 (1982) de Stephen King : Avec l'adaptation au cinéma qui est sorti et que je vais bientôt aller voir, je ne pouvais pas attendre plus longtemps avant de me plonger dans cette saga. Alors, pas sûre d'avoir le temps de lire ce premier tome en septembre mais j'en ai grandement envie. Je deviens une habituée du stle de Stephen King, j'ai hâte de découvrir comment il se débrouille dans cette histoire atypique et assez différente de ses autres récits.



Les films :
     
Cloclo (2012) de Florent-Emilio Siri --> 15/20
La Maison du bonheur (2006) de Dany boon --> 11/20
I wish - Faîtes un voeu (2017) de John R. Leonetti --> 6/20


J'espère que vous aurez bien profité de vos vacances pour ceux qui ont en eu, et je vous souhaite une bonne rentrée avec plein de bonnes lectures !